vendredi 14 novembre 2008

Les îles des Caraïbes

Mais escales, il y aura durant cette croisière. Aruba d’abord, cette île d’influence néerlandaise voisine des côtes vénézuéliennes. Les maisons colorées de pastel donnent beaucoup de charme à la capitale et une Heineken – bien sûr – nous rafraîchit du soleil équatorial. Une brève excursion permet de découvrir certains aspects de l’île : sa côte nord frappée par les vagues, ses plages exceptionnelles protégées au sud, son phare California sur la pointe nord-ouest. Des pluies récentes ont verdi cette île généralement desséchée et en laissent une impression agréable.

Puis les îles se succèdent : Bonaire où nous découvrons ses poissons tropicaux en apnée, La Grenade qui nous offre son marché chargé d’épices et de couleurs avant de se voiler sous des nuages et des trombes de pluie. À La Dominique, nous retrouvons le soleil et son jardin botanique plutôt simple, mais où il est agréable de se promener à la découverte de fleurs, d’oiseaux-mouches, des sentiers sous les arbres tropicaux.

À son tour, St-Thomas déroule son visage touristique, sa rue principale bordée de bijouteries, de boutiques de luxe, de comptoirs de spiritueux à des prix sans concurrence. Allez vérifier! Nous préférons plutôt explorer l’île voisine de St-John dont la plus grande partie constitue un parc national américain. Sous le soleil généreux de cet après-midi de novembre, l’île se présente comme l’anthologie des sables dorés, des baies ombragées de cocotiers, des eaux transparentes d’un bleu-vert quasi fluo, des forêts tropicales qui montent à l’assaut les collines. C’est sûrement d’un endroit pareil qu’est né le mythe du paradis.

Après une dernière escale au large de Princess Cays sur Eleuthera pour jouir encore des eaux chaudes et des poissons tropicaux, le débarquement à Fort Lauderdale nous replonge dans la vie trépidante des grandes villes. Le vent un peu frais qui nous y accueille n’est qu’un présage de la fin de l’automne qui nous attend au retour vers ce Montréal qu’on trouve parfois un peu trop nordique.

Pour d'autres photos, cliquez sur l'image qui suit:
Croisière dans les Caraïbes - Novembre 2008

lundi 10 novembre 2008

Croisière sur l'Emerald Princess

Novembre chez-nous est trop souvent synonyme de jours sombres, de pluies froides, d’une nature triste. Pour y échapper, nous avons choisi le soleil des Caraïbes.

Mais d’abord, nous sommes allés rencontrer des amis qui nous ont accueillis chaleureusement à Fort Lauderdale et nous ont fait visiter la région pendant quelques jours. Ce sont des croisiéristes expérimentés et leurs témoignages nous ont inspirés de choisir à notre tour ce genre de voyage pour oublier novembre.

Nous voici donc embarqués sur l’Emerald Princess à Fort Lauderdale pour une croisière de dix jours dans les Caraïbes à destination des îles du sud-est. Le navire est une véritable ville flottante avec ses trois mille passagers. On y trouve toutes les activités et les services pour nous projeter dans un monde quasi utopique et nous faire oublier ses aspects artificiels. Pour profiter du soleil, les quatre piscines et d’innombrables transatlantiques occupent les ponts supérieurs.
De Croisière dans les Caraïbes - Novembre 2008

Mais bien d’autres activités sont offertes : une salle de spectacle et ses grandes productions, des bars avec chanteurs et musiciens, du cinéma en plein air, une bibliothèque. C’est sans compter les tentations constantes que nous proposent les restaurants, les cafétérias et les somptueuses salles à dîner. La formule nous offrant la flexibilité de notre heure de souper nous convient d’ailleurs parfaitement.
De Croisière dans les Caraïbes - Novembre 2008
D’autant plus que nous avons choisi cette croisière qui nous permet de passer au moins trois jours en pleine mer à profiter pleinement des luxes de l’Emerald Princess.

À suivre sur le «Message plus récent» ...

mercredi 24 septembre 2008

Bar Harbor

Septembre est une période favorable pour visiter la côte est de la Nouvelle Angleterre. C'était aussi un merveilleux prétexte pour tester une nouvelle auto et ses caractéristiques sportives. Nul doute que les routes sinueuses du Vermont, du New Hampshire et du Maine avec leurs paysages de montagnes, de lacs et de rivières et leurs petites villes endormies sont idéales pour savourer les kilomètres au volant d'une nouvelle bête de la route.

De Bar Harbor - Septembre 2008


Le tout nous a conduits dans la région de Bar Harbor. Un agréable B&B nous attend à Bass Harbor sur la côte au sud-ouest du Parc National Acadia. Nous avons passé trois jours à découvrir lentement les paysages du Parc, les sentiers cachés qui mènent au bord de la mer, parfois à des plages protégées, parfois à des rivages battus par les vagues. Les couleurs de l’automne s’approchent de leur apogée et accentuent les scènes que les routes nous présentent.

C'est aussi la découverte de quelques tables généralement agréables, quoique la réputation de Thurston's Lobster Pound me semble surfaite. Bien sûr, le homard y est très frais, mais en septembre, le restaurant est aussi très frais !

Heureusement, il y a cette merveilleuse heure de fin d'après-midi à Jordan Pond, ses popovers et son thé à l'anglaise sur les pelouses qui mènent au lac. Hors du temps !

De Bar Harbor - Septembre 2008


Bar Harbor, avant de s’endormir pour l’hiver, est encore animé de touristes et même de croisiéristes qui profitent d’un soleil encore capable d’adoucir les jours. Mais c’est un séjour qui ne se raconte pas sauf peut-être en photos, que je vous invite à parcourir en cliquant sur le diaporama qui suit.

Bar Harbor - Septembre 2008

samedi 10 mai 2008

Aéroport de Las Vegas

L’aéroport de Las Vegas terminal 2 est fidèle à l’esprit du jeu qui anime toute la ville. Alors qu’on mise sur un bon restaurant pour déjeuner avant le vol de retour, tout ce qu’on gagne c’est un croissant garni d’œufs en caoutchouc chez Burger King.


Imaginez si en plus, j’avais déjà laissé ma chemise aux tables de Black Jack!

Heureusement j'ai gagné les souvenirs d'un merveilleux voyage et cela, ça ne se perd pas !





Cliquez sur l'image et demandez le diaporama de Las Vegas.
Las Vegas - Mai 2008

vendredi 9 mai 2008

Temps d’arrêt à Las Vegas

Las Vegas inspire d’autres réflexions qu’un temps d’arrêt à la piscine, sous le soleil et ses 30°C nous laisse le temps d’Explorer.

En vrac :

- Quelle logique à vouloir interdire le foie gras au nom de la protection des animaux alors qu’on laisse les McDonalds engraisser les Américains – et autres – bien au-delà de ce qu’une oie pourrait supporter?

- Tous ces tatouages sur la peau de filles aussi fraîches sont comme ces éraflures égratignant la peinture d’une Mercedes neuve.

- À la différence de Louis XIV et autre empereurs de Russie, les magnats du commerce d’aujourd’hui laissent les manants que nous sommes circuler dans leurs palais de marbre, de dorures, de fresques et de luxe. Pourquoi se priver de ce rêve?

Heureusement, il reste encore quelques photos à prendre et quelques rêves à vivre.

jeudi 8 mai 2008

I love Ceasar


César et son palais, c’est juste en face de notre hôtel et les passerelles jetées par-dessus les intersections y conduisent. Des escalateurs y mènent et les rampes sont de colonnades de pierre. Ici aussi l’illusion est poussée à son maximum. Dans certains lieux, on croirait plus facilement traverser les splendeurs de la Rome impériale qu’en explorant les ruines qu’il nous en reste.





Puis au-delà, au Mirage, une autre illusion, celle de Love et du monde des Beatles revu et mis en scène par le Cirque du Soleil. «O» ne nous a pas blasés et l’on participe pleinement à l’Imaginaire et qui explose au son des musiques les plus connues des Beatles comme de celles les plus éclatées. Encore une fois, indicible!
Un dîner à la table opulente de César clôt bien cette soirée.

mercredi 7 mai 2008

Ô Paris Las Vegas


Paris Las Vegas et sa tour Eiffel quasi grandeur nature sont situés juste au sud de notre hôtel. L’illusion se poursuit avec un arc de triomphe au centre de la place où loge l’hôtel. Les façades reflètent la vieille Europe; les rues sont agrémentées de fontaines. Près la traversée de l’inévitable casino, une rue commerçante dont le ciel s’éclaire des dernières lueurs du jour fait écho aux boutiques de Provence, aux cafés de Paris.

Nous dinons au Café Île St-Louis. Il n’a pas le raffinement dans les détails de ses cousins de Paris,
mais les linguinis aux crevettes à la Provençale sont délicieux avant de traverser dans le monde de luxe du Bellagio.

Corridors de marbre, plafonds somptueusement décorés, boutiques des griffes les plus connues et des initiales les plus prestigieuses : Y St-L - H – LV - …
Bellagio, c’est aussi la salle du spectacle «O». Dans ce Las Vegas, lieu de tous les émerveillements, «O» se démarque par son imagination, sa maîtrise des éléments – l’eau, le feu – ses prouesses aériennes supporté par une technique qui se fait oublier. Chaque moment, chaque zone de la scène s’animent de découvertes et de surprises. Un rêve, mais bien réel.

mardi 6 mai 2008

Venise réinventée




Du Flamigo, nous partons vers le nord du Strip. Bars, casinos, marchands de rue se succèdent jusqu’au Vénitien. Un véritable coup de cœur construit en réplique de Venise, de sa place St-Marc et du Palais des Doges, canaux et gondoliers inclus. L’illusion est prolongée jusqu’au toit aux couleurs d’un ciel de crépuscule.





La balade en gondole accompagnée des sérénades italiennes est incontournable.


Et terminer sur une terrasse en goûtant aux saveurs et aux vins d’Italie, aux musiques d’opéras en costume d’époque, c’est savourer chaque moment d’un rêve réalisé.

lundi 5 mai 2008

Découverte de Las Vegas

Nous avons encore l’auto et en profitons pour explorer un peu plus loin. Arrêt au Mandalay, énorme bien sur, avec accent sur l’Inde ses temples et statues.


La marche nous fait découvrir le Luxor puis nous passons devant New York – New York à l’image de la ville et de ses gratte-ciel.

Puis nous repartons vers le sud – Outlet Center, une des facettes commerçantes de la ville, à la recherche peut-être de souliers plus confortables car la marche est la deuxième activité de Las Vegas après le jeu.


Nous remontons le Strip au complet jusqu`à la rue Fremont et ses casinons à l’origine de la prospérité de la ville. Glitter Gulch couvre la rue Fremont de centaine de milliers d’ampoules. Et lorsque ce plafond s’anime en un écran géant de plusieurs centaines de mètres, qui voudrait échapper à l’enchantement!
Souper au Golden Nugget, à l’italienne – excellent!

dimanche 4 mai 2008

Vers Las Vegas

La route parfaitement droite et sans attrait remonte vers le nord jusqu’au canyon du Colorado qu’elle traverse sur la barrage Hoover. L’ouvrage est impressionnant et mérite la visite On descend jusqu’aux turbines à environ 600 pieds plus bas.
Dès après le barrage, l’autoroute travers Boulder et bientôt les banlieues de Las Vegas. Une sortie d’autoroute et nous sommes directement sur Las Vegas Blvd, le Strip, et tout de suite notre hôtel le Flamingo.

Bien que prévenus, l’animation, la démesure, l’extravagance éblouissent. S’ajoutent les machines à sous innombrables et bruyantes, les tables de black jack, la musique ici, le bruit des conversations là. Tout un choc après le contact avec la nature, ses mesas sur la plaine désertique, ses canyons rouges creusés par le Colorado, mais l’expression d’un même gigantisme, d’une même démesure.


Souper au Flavors de l’hôtel Harrah, puis l’éblouissement des fontaines du Bellagio.

samedi 3 mai 2008

Kingman, Arizona

Ce matin nous quittons Tuyasan et les hauteurs du Grand Canyon pour descendre graduellement vers Kingman, une halte vers Las Vegas. Car Kingman n’annonce rien de significatif et le Quality Inn non plus. Puis la ville découvre son visage associé à la mythique Route 66, première route pavée à traverser les États-Unis d’est en ouest. Et voilà que cette fin de semaine représente le 21è rendez-vous annuel d’amateurs d’autos anciennes et de Corvettes en particulier.

La rue principale du vieux Kingman où passe la Route 66 est fermée pour permettre d’admirer ces autos anciennes tout aussi fraiches mais surtout plus colorées qu’à l’origine. Les propriétaires dont l’âge assure qu’ils ont connu ces autos comme modèle de l’année, se regroupent, discutent moteur et ouvrent leur capot.
C’est la fête à Kingman.

vendredi 2 mai 2008

En hélicoptère au dessus du Grand Canyon

La fumée résiduelle d'un feu dans la forêt nationale Kaibab avait cloué au sol l'hélicoptère qui devait nous emmener au dessus du Grand Canyon. Mais aujourd'hui l'air est dégagé le long du trajet et notre vol est confirmé pour 10:00 heures.

À l'aéroport de Tusayan, l'appréhension de certains est palpable: c'est une première expérience dans ces engins qui semblent bien frèles sur le tarmac. On assigne les places aux cinq passagers de ce vol (une place est libre pour cause de phobie), le tout en tenant compte du poids de chacun et bientôt, on nous appelle pour monter à bord.

C'est tout en douceur que le sol s'éloigne et qu'on survole les pins en direction du canyon. Et tout à coup, la forêt s'efface et le canyon s'ouvre au son des premières notes de Strauss : « Ainsi parlait Zarathoustra ». On descend quelque peu vers le Colorado en survolant les formations érodées.

Ici se jette l'affluent Little Colorado. Aujourd'hui, c'est la féérie: ses eaux sont d'un bleu turquoise serti entre les parois des falaises ocres. Au confluent du fleuve, elles se fondent dans les eaux vertes du Colorado.

Plus loin, le rocher prend la forme d'un bateau de guerre: il en prend le nom « Battleship Rock ».

Le regard porté du haut des airs donne une idée encore plus grandiose du Canyon. Les falaises rouges, les parois vertigineuses occupent tout l'horizon, tandis que le Colorado trace son lit entrecoupé à l'occasion de l'écume des rapides.

L'hélicoptère nous amène jusqu'au versant nord du canyon où la neige recouvre en core le sol avant de revenir par un corridor plus à l'ouest en montrant des paysages toujour plus spectaculaires. L'exploration aura duré environ 50 minutes.

Le temps d'un après-midi ne suffit pas - loin de là - pour explorer le Canyon jusqu'au Colorado en emprutant le sentier « Bright Angel », mais parcourir ce sentier pendant quelques heures permet un regard différent sur les falaises, les rochers et les arbustes qui s'y accrochent, sur la vie qui l'habite - lézard, écureuil, corbeau: c'est ce que je peux identifier ! Au détour d'un lacet, c'est un train de mules qui soulève la poussière rouge au retour d'une descente dans le canyon.


Quoi de mieux pour finir la journée que ce coucher de soleil qui creuse les ombres et approfondit les couleurs.

jeudi 1 mai 2008

Grand Canyon

Une journée à s'émerveiller devant cette nature unique. Difficile de transmettre la réalité vécue en s'approchant du Canyon par la route qui traverse la forêt nationale Kaibab. De chaque côté, des pins et un sous-bois bien dégagé. Puis le sol du plateau s'affaisse et plonge jusqu'au Colorado. Yavapai Point se prolonge jusqu'au bord de l'abime et permet d’admirer les strates ocres, orangées, beiges qui racontent l’histoire d’un continent.



De Yavapai Point, le sentier se dirige vers l’ouest en longeant le bord du Canyon. À chaque détour, un nouveau paysage montre une détour, un nouveau paysage montre une falaise aux parois lisses disparaissant sous nos pieds, un sentier qui serpente dans une pente abrupte puis rejoint un plateau verdoyant, une boucle du Colorado où on devine les radeaux pneumatiques. Les différentes formations qui s’élèvent du fond du Canyon portent des noms évocateurs empruntés à un autre monde : le temple de Vishnou, le temple de Zoroastre, la tour de Ra, le trône de Wotan, le temple de Venus.

Les photos peinent à transmettre l’immensité de ce paysage, mais les mots sont plus démunis encore.

mercredi 30 avril 2008

Arrivée au Grand Canyon

Ce jour de voyage de Kayenta jusqu'au Grand Canyon nous réserve une surprise: à peine sorti des tempêtes de neige du Québec, nous voici au coeur d'une tempête de sable. La visibilité est quasi nulle et l'autobus que je suis disparaît souvent dans le nuage de sable qui crépite dans les vitres de l'auto. Parfois, une colline nous met à l'abri du vent, mais bien vite le paysage se fond à nouveau dans une brume rougeâtre jusqu'à ce que nous quittions la route 89 orientée nord-sud pour la route 180 qui mêne à l'entrée est du parc du Grand Canyon.



Desert View Point est notre premier regard sur le Canyon. Grandiose. Les dimensions défient l'imagination et les rouges, verts, bruns, beiges découpent les falaises qui plongent jusqu'au Colorado 1500 mètres en contrebas.

Il faut s'arracher à cette féérie pour gagner notre hotel à Tusayan et fêter cet éblouissement autour d'un bonne bouteille de vin après les journées de régime sec sur le territoire Navajo.




Fresque d'inspiration Navajo dans la tour d'observation de Desert View à l'entrée est du parc National Grand Canyon.

mardi 29 avril 2008

Natural Bridges

Après une journée d'exploration de Monument Valley, nous reprenons la route pour découvrir d'autres paysages de la région. Un peu plus au nord, Mexican Hat et son rocher en équilibre. Plus loin encore au parc Gooseneck, c'est le canyon de la rivière San Juan et ses méandres parfaitement dessinés mais profonds d'au moins 300 mètres. Tout au fond, d'où viennent ces kayakistes qu'on devine à peine ? Les parois sont si abruptes que leur périple a sûrement débuté bien en amont.


Devant nous la route se dirige droit vers une paroi verticale qui barre l'horizon. Les lacets en terre de la montée «Maki Dugway» montrent le chemin à suivre dans ce qui fut autrefois construit pour une exploitation minière au haut de la falaise. Au sommet, la vue est imprenable vers la vallée, tandis qu'au delà, s'étend un plateau à peine valonné couvert d'arbustes assez dispersés où vivent librement des troupeaux de bovins.

Nous atteignons finalement le parc Natural Bridges en Utah. Encore un monde différent creusé par une rivière d'un débit si faible qu'on peine à croire qu'elle ait pu creuser ces formations étonnantes.

Ici, la rivière a tracé des méandres d'une incroyable profondeur dans le plateau rocheux. Mais à certains endroits, elle a refait son lit en coupant les méandres à leur base de sorte qu'il reste des ponts rocheux jetés entre ses rives. Le pont «Sipapu», le plus long des trois ponts du parc, atteint 82 mètres de long et une hauteur de 57 mètres.




Une autre merveille de la nature !