lundi 25 septembre 2006

Santorin

Santorin a aussi son côté mythique puisqu’elle constitue les restes d’une séquences d’éruptions volcaniques. La dernière et la plus spectaculaire eut lieu vers 1627 av. J.-C. et contribua à la décroissance de la civilisation minoenne en Crête. La géographie qui en a résulté donne lieu à des paysages spectaculaires, mis encore plus en valeur par l’architecture des villes de Fira et de Oia accrochées audacieusement aux falaises. Les dômes des églises au bleu plus profond que le ciel et leurs clochers
ouverts éclatants de blanc rythment l’enchevêtrement des ruelles arrachées aux falaises. Les fleurs des géraniums et les bougainvilliers s’accrochent aux pergolas tandis que les chats omniprésents défient les hauteurs ou somnolent au soleil.

C’est l’univers grec idyllique : le soleil, la blancheur, la mer, le bleu, la saveur, l’intensité.

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