Puis c’est le Parthénon tout aussi impressionnant que dans nos représentations mentales. Il nous fait parcourir un chemin historique qui remonte à Périclès et aussi à Socrate, Platon et Aristote. J’ai l’impression que tout ce que nous sommes devenus et ce que nous avons la responsabilité de poursuivre dans la pensée et l’éthique sont nés en ce lieu. C’est un symbole, un appui, un défi à la quête de notre idéal humaniste.
Les Caryatides du portique de l’Érechthéion me semblent réduites tant la grandeur du lieu semble appeler à des élans de gigantisme. Mais sous un regard plus approché, elles reprennent leur dimension grandiose et s’inscrivent dans la continuité de ce lieu sacré.
Même s’il faut bien redescendre de l’Acropole, le temple d'Héphaïstos à Athènes, un des mieux conservé de toute la Grèce, et le portique – reconstruit – d’Attale nous maintiennent dans cet état de contemplation et de ressourcement.
Et pour finir, dîner dans le Monistiraki et souper sur la Plaka animée de vendeurs, de musique et de vin.
De Grèce 2006 - 17 septembre au 16 octobre |
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