Direction Amalfi: nous choisissons d'y aller par autobus car, dit-on, les
stationnements sont difficiles dans cette ville. Vérification faite en arrivant
sur la Piazza Gioia face au port, cela semble plutôt impossible et à 5 euros
l'heure.
Même si Amalfi fut rivale de Gène et de Venise au XIième siècle, le port
n'a plus cette envergure et le bateau de croisière qui s'y est arrêté pour la
journée doit demeurer au large et débarquer ses passagers par navettes.
Le Duomo d'Amalfi |
Cloître de la cathédrale d'Amalfi |
De retour dans ce grand stationnement qui fait fonction de gare d'autobus,
c'est le fouillis: impossible de savoir quel autobus se dirige vers Praiano.
Plusieurs arrivent, se stationnent. La foule se précipite pour connaître leur
destination.
«Je sais pas...»: c'est la réponse. Personne ne sait!
Finalement l'autobus prévu pour 14:00 quittera à
14:40.
Autre erreur: on décide de continuer sur Positano, la ville voisine de la
nôtre. Cette fois, on débarque dans les hauteurs de la ville, puisque
l'information que j'ai me suggère de descendre pour visiter puisque Positano est à
flanc de montagne, je dirais plutôt de falaise. Les lacets pour descendre seront
beaucoup trop long. On hèle un taxi qui nous amène à la Piazza dei Molini au
centre de Positano. Là encore une longue descente - et remontée - s'impose pour
rejoindre le bord de mer... Non, pas cette fois !
Le prochain autobus pour notre
hôtel à Praiano est dans vingt minutes. On va l'attendre... La prochaine fois,
on prendra l'auto !
Le calme du soleil couchant à notre hôtel de Praiano |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire