samedi 15 septembre 2007

Découverte de l'Isle-sur-la-Sorgue

L'avion se pose à l'aéroport de Marseille à 13:00h après un vol sans histoire, sinon que Germaine apprécie mieux le service du personnel que lors du voyage en Grèce l'an dernier. L'auto - une Opel Mériva - nous attend à l'aéroport. C'est un genre de micro-van: un peu plus haut qu'une auto habituelle, mais construit comme une station-wagon très courte. Mais ça roule très bien et nous voilà en route vers notre gîte.

Les indications obtenues de Google sont en général assez bonnes, mais il faut être familier avec les routes, les ronds-points et les signalisations françaises. Tout s'est bien déroulé jusqu'à l'Isle-sur-la-Sorgue, mais là, il a fallu improviser car il y a beaucoup trop de détours et d'intersections pour un sens de l'orientation normal!

Le gîte du Pont-des-Aubes est fort bien situé au bord d'un des nombreux bras de la rivière La Sorgue. C'est un petit nid sur deux étages avec terrasse sur le jardin - un peu sec, faut-il préciser - et la rivière.

Les propriétaires nous donnent quelques informations sur les lieux d'intérêt des alentours et surtout les restaurants à privilégier. Surtout à peu près rien en terrasse sur la rivière car la qualité de la nourriture laisserait à désirer, alors que tant d'autres endroits, peut-être moins bien situés, sont bien meilleurs.

Nous décidons de nous offrir d'abord l'apéritif - un Côte-du-Rhône bien sûr - sur notre terrasse au bord de la rivière accompagné d'une petite douceur. C'est que nous avons visité notre voisin boulanger qui nous a offert un pain/patisserie de sa spécialité avec une pointe de pizza froide. Pendant que le soleil déclinait sur les canards de la rivière, il fait encore 30°C.

Ensuite, en route vers la ville qu'on atteint par un petit chemin qui longe la rivière. Puis c'est la découverte des ponts qui enjambent les innombrables bras de la rivière. Les berges sont amménagées en canaux bordés de terrasse et de promenades. En ce samedi soir, elles sont bondées d'autant plus que la soirée est magnifique. Mais la fatique a raison de notre désir de trouver un endroit coquet où s'offrir une gâterie ou un dessert. Alors nous rentrons à la maison.

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